AQPER - Association québécoise de la production d'énergie renouvelable
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27 février 2013-Croyant fermement en l'avenir de la filière de la petite hydraulique comme levier de développement propre et durable, la Fédération québécoise des municipalités (FQM), de concert avec les six communautés concernées par l'abandon du programme de petites centrales hydroélectriques de 50 MW et moins, sollicite une  rencontre d'urgence avec la ministre des Ressources naturelles et de la Faune, Mme Martine Ouellet.

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« OÙ S’EN VA LE DÉVELOPPEMENT DES ÉNERGIES RENOUVELABLES? »
 - Jean-François Samray


Montréal, le 6 février 2013 – L’Association québécoise de la production d’énergie renouvelable (AQPER) est grandement préoccupée par la décision du gouvernement du Québec de mettre un terme au développement de 6 projets de minicentrales hydroélectriques. « Cette décision envoie un message très négatif et va à l’encontre du développement de l’énergie renouvelable au Québec », affirme le président-directeur général de l’AQPER, Jean-François Samray.

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Isabel Authier
La Voix de l'Est

9 février 2013 (Granby) La décision du gouvernement péquiste d'annuler cette semaine six projets de minicentrales hydroélectriques dans la province touchera directement les entreprises de la région spécialisées dans cette industrie de pointe.

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21 juin 2012 – Innergex énergie renouvelable inc. annonce que BC Hydro a renoncé à son droit de premier refus de se porter acquéreur de la centrale hydroélectrique de Miller Creek, déclenché par la signature d’une entente définitive entre la Société et Capital Power Corp. (TSX: CPX) annoncée la semaine dernière. Innergex prévoit toujours clore la transaction en juillet 2012, sous réserve des autorisations réglementaires et autres conditions habituelles de clôture.

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25 juilet. 2012 - Boralex annonce la signature d'une lettre d'entente ferme visant l'acquisition d'un projet de centrale hydroélectrique au fil de l'eau de 22 MW, présentement détenu par Sequoia Energy Inc. Le Projet, situé près de Gold Bridge en Colombie-Britannique, nécessitera des investissements de l'ordre de 60 M$ et devrait produire environ 70 GWh annuellement. Tous les principaux permis ont été obtenus et les travaux de construction sont sur le point de débuter.

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Des « hydro-dollars » pour la Minganie

La mini-centrale de la rivière Sheldrake, qui générera des centaines de milliers de dollars en redevance pour les municipalités de la Minganie, entrera en opération au cours des prochains jours.

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Les élus de Franquelin se disent optimistes de pouvoir construire leur second projet de petite centrale hydroélectrique en 2012.

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Centrale hydroélectrique de la Chute-à-Thompson sur la rivière Franquelin

La mise en service de la centrale hydroélectrique de la Chute-à-Thompson sur la rivière Franquelin, développée par la Société d'énergie Rivière Franquelin inc., a eu lieu le 22 décembre 2010. Le projet a été réalisé par le Groupe Axor inc, partenaire de la Municipalité de Franquelin dans ce projet de 9,9MW. Le projet Franquelin est le premier projet de l'appel d'offres PAE2009-01 à être mis en route. (Voir photo.)

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25 avril 2013--Le maire de La Tuque, M. Normand Beaudoin et le conseiller municipal Roch Lepage, sont allés à l'Assemblée nationale à Québec ce matin pour défendre la cause des minicentrales hydroélectriques auprès du gouvernement. Les élus latuquois ont fait partie d'un groupe d'une trentaine de personnes, dont 21 élus, réunis par la Fédération québécoise des municipalités (FQM). Il s'agissait des représentants des six projets de minicentrales victimes du couperet gouvernemental.

« Nous avons rencontré d'abord les gens de l'Opposition officielle, soit Pierre Paradis, Laurent Lessard, Marc Carrière et Julie Boulet. La rencontre a duré 45 minutes. Ensuite, nous avons pu nous entretenir pendant une quinzaine de minutes avec les ministres Sylvain Gaudreault et Martine Ouellet du gouvernement, mais nous n'avons pas avancé d'un poil. Je suis très déçu et amer par rapport à cette rencontre avec les ministres. Encore une fois, ils n'ont pas réussi à nous donner des raisons valables pour expliquer leur décision de mettre fin au programme, sauf nous dire que c'est une décision gouvernementale et qu'elle ne changera pas. C'est clair dans notre esprit qu'ils ont fait une erreur et que cette décision est purement idéologique. Même si tout le monde au Québec le sait et probablement qu'ils le savent eux aussi, ils refusent toujours de changer leur fusil d'épaule. De notre côté, avec la FQM, nous allons continuer à faire des pressions pour que les minicentrales fassent partie de la stratégie énergétique du Québec. Il en va de la survie de nos régions et nous n'allons pas baisser les bras même si le gouvernement s'entête à nous dire non. Pour La Tuque, le message est clair : nous voulons notre mini-centrale ou un chèque de 106 millions $ en compensation » a souligné le maire de La Tuque après la rencontre à Québec.

Le groupe des six croient fermement en l'avenir de la petite hydraulique comme levier de développement propre et durable. La Fédération québécoise des municipalités (FQM), de concert avec les six communautés concernées par l'abandon du programme de petites centrales hydroélectriques de 50 MW et moins, continuera de demander la révision de la décision gouvernementale. Il s'agit d'une filière prometteuse qui permet aux communautés de prendre en charge leur développement et cette énergie verte mérite la même considération que toutes les autres sources d'énergie disponibles.

« Ils voudraient qu'on arrête de crier à l'injustice, mais on ne peut pas par respect pour nos citoyens. Peut-être qu'on ne remportera pas la bataille, mais au moins tout le Québec saura qu'on s'est battu jusqu'au bout. Ils ont choisi l'éolien, nous disons que l'un n'empêche pas l'autre. L'énergie, c'est ce qui fait vivre le Québec et les minicentrales font partie de l'équation. Nous sommes des bâtisseurs d'eau et l'hydroélectricité dans nos régions, c'est une fierté. Nos régions remplissent les coffres d'Hydro-Québec depuis des années, alors nos demandes de pouvoir en retirer enfin un petit quelque chose pour nos communautés sont tout à fait légitimes », ajoute M. Normand Beaudoin.

Outre celui de Manouane Sipi à La Tuque, les cinq autres projets de mini-centrales hydroélectriques concernés sont celui de Saint-Joachim, ceux de Chute du Six-Mille et Chute du Quatre-mille sur la Côte-Nord, celui de la 11e Chute au Lac-Saint-Jean et celui de Saint-Gabriel dans la région de la Capitale-Nationale. Ces six projets devaient générés des revenus de 800 millions $ pour les communautés concernées au cours des 40 prochaines années et plusieurs d'entre eux, dont celui de La Tuque, sont des projets réalisés en partenariat avec les communautés autochtones.

5 février 2013 -Le gouvernement Marois met fin au programme de petites centrales hydroélectriques de 50 mégawatts et moins.

Cette décision entraîne l'annulation de six projets, dont deux dans la région de Québec : celui de la chute Sainte-Anne à Saint-Joachim et celui de la Centrale Saint-Gabriel à Shannon.

La ministre des Ressources naturelles, Martine Ouellet, affirme que la société d'État Hydro-Québec épargnera ainsi 24 millions de dollars annuellement. Cette décision survient au moment où le Québec enregistre des surplus énergétiques.

La fin de ce programme aura non seulement des conséquences pour les promoteurs de ces minicentrales, mais également sur les municipalités qui désiraient obtenir des redevances de ces projets.

Pour la chute Sainte-Anne, la MRC de la Côte-de-Beaupré devait toucher 35 % des redevances, ce qui aurait pu représenter 165 000 $ par année pendant 20 ans.

La municipalité de Saint-Joachim aurait pu garnir ses coffres de 400 000 $ par année, soit 15 % de son budget annuel.

À Shannon, le maire Clive Kiley affirme que sa municipalité avait déjà investi 600 000 $ dans le projet de la Centrale Saint-Gabriel. Même si le gouvernement va offrir des compensations jamais, dit-il, elles ne remplaceront des revenus anticipés de 400 000 dollars par année que sa municipalité comptait retirer de l'exploitation du barrage. « On était prêt à investir cette somme dans notre municipalité pour essayer d'améliorer la qualité de vie de nos résidents », affirme maire Clive Kiley.

Le gouvernement s'est engagé à former un comité supervisé par le ministre des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire et ministre des Transports, M. Sylvain Gaudreault, pour discuter avec les municipalités touchées afin d'explorer d'autres avenues de développement économique.

Des pourparlers seront aussi entrepris avec les promoteurs afin de déterminer les indemnisations appropriées selon l'avancement des projets.

La Fédération québécoise des municipalités (FQM) demande à la ministre des Ressources naturelles Martine Ouellet de revenir sur sa décision et d'éviter de laisser tomber les communautés qui ont déjà investi de l'argent dans ces projets.

Pour voir l'article dans son contexte original et le reportage d'Olivier Lemieux, cliquez ici.

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