AQPER - Association québécoise de la production d'énergie renouvelable
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Montréal, le 31 juillet 2012–L’AQPER se réjouit de l’annonce de la création à Rivière-du-Loup d’un site voué à la production de biométhane liquéfié destiné à l’approvisionnement des transports lourds et maritimes. « Cette initiative rend possible l’utilisation du biogaz à l’extérieur des régions desservies par le gazoduc de Gaz Métro », dit Jean-François Samray, Président directeur général de l’Association québécoise de la production d’énergie renouvelable (AQPER) ».

« Les annonces des derniers jours démontrent qu’il y a au Québec une volonté de donner au développement de la filière biométhanisation l’importance qui lui revient. Ces initiatives donnent à nos entreprises innovantes des projets concrets leur permettant de faire leurs preuves dans ce nouveau marché », dit monsieur Samray. « L’AQPER réitère que la prochaine étape à franchir est celle de créer un programme structuré de mise en valeur du biogaz ».

Les retombées du développement de la filière biogaz sont bénéfiques sur plusieurs plans. Du côté écologique, l’utilisation du biométhane en tant que carburant réduira de façon importante les émissions de GES du secteur des transports qui, rappelons-le, est responsable de 43,5 % du total des émissions du Québec. « Le passage du diesel au biométhane réduit les GES de plus de 85%, ce qui en fait un carburant renouvelable idéal pour les véhicules lourds. Au niveau économique, le développement du biogaz a tout le potentiel pour créer au Québec un grand nombre d’emplois stables et non-délocalisables », conclut monsieur Samray.

26 juillet 2012 – – L’Association québécoise de la production d’énergie renouvelable (AQPER) accueille favorablement l’annonce de la deuxième phase du projet de traitement des matières résiduelles organiques par biométhanisation à Saint-Hyacinthe. « Cette filière énergétique est vouée à un avenir prometteur. Pour réaliser son plein potentiel, il faut toutefois dès maintenant créer un marché énergétique diversifié et durable pour l’énergie du biogaz », affirme Jean-François Samray, Président directeur général de l’association.

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23 octobre 2013 – La Ville de Saint-Hyacinthe fait état de l’avancement des travaux en ce qui concerne son plus important projet d’investissement en cours, soit celui de la biométhanisation. Ce grand projet comporte deux volets spécifiques, soit la construction du Centre de traitement des matières organiques solides ainsi que d’une plateforme de maturation dans le parc industriel Théo-Phénix et l’agrandissement des installations existantes à l’usine d’épuration qui traiteront les matières organiques liquides.

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Réal-Jean Couture
L'Avantage
 
12 juin 2013 - Deux projets de loi d'intérêt privé sont sur le point d'être adoptés à l'Assemblée nationale du Québec, tous les deux déposés et parrainés par le député de Rivière-du-Loup-Témiscouata, Jean D'Amour. On est en droit de s'attendre à ce qu'ils soient adoptés dans les meilleurs délais.
                                        
La Commission de l'aménagement du territoire a procédé en effet mardi aux auditions des intéressés ainsi qu'aux études détaillées de deux projets de loi d'intérêt privé soit le projet de loi numéro 206, Loi concernant la Municipalité régionale de comté des Basques pourle dossier du Club Appalaches et le projet de loi 208, Loi concernant la possibilité, pour les fondateurs municipaux, de se rendre caution de la Société d'économie mixte d'énergie renouvelable de la région de Rivière-du-Loup.
 
« Je suis heureux que ces projets cheminent ainsi, puisqu'ils sont très importants pour le développement de notre communauté. Rappelons qu'il s'agit, dans les deux cas, de projets déterminants pour l'avancement de plusieurs autres projets qui en découlent; l'un viserait à doter la MRC d'un levier important pour l'occupation dynamique de l'ensemble de son territoire, et l'autre, permettrait, la construction, dès septembre, d'infrastructures liées au projet de biométhanisation de la Société d'économie mixte d'énergie renouvelable de la région de Rivière-du-Loup (SEMER), lequel est évalué à 27 M$. Je tiens à remercier les divers représentants présents qui ont fait de moi un député très fier de sa région », de conclure le député D'Amour.
 
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25 avril 2014 -Le laboratoire de biométhanisation du Cégep de Rivière-du-Loup sera doté prochainement d’appareils spécialisés, à la fine pointe de la technologie, permettant l’analyse d’échantillons gazeux, liquides et solides.

Grâce à l’acquisition de ces appareils, les analyses effectuées gagneront en précision, en exactitude et en rapidité d’exécution, ce qui entraînera des retombées importantes pour la réalisation des travaux de recherche et des impacts significatifs sur la formation des étudiants. En plus de représenter un atout majeur pour la formation, ce laboratoire spécialisé devient un élément incontournable pour les entreprises puisqu’il sera le seul laboratoire dans la région à offrir ce service.

L’acquisition d’appareils est rendue possible grâce à l’obtention d’une subvention de 115 000 $ du Programme d’innovation dans les collèges et la communauté (ICC) du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), dans le cadre de la subvention d’outils et d’instruments de recherche appliquée (OIRA).

Le laboratoire sera équipé prochainement d’un spectromètre à plasma (ICP) permettant de mesurer de nombreux éléments et métaux simultanément dans un échantillon. Il sera possible d’analyser des échantillons liquides (eaux naturelles, eaux usées, eaux de procédé, lixiviats) et solides (digestats, composts, matières résiduelles), en réalisant une extraction préalable sur ces derniers.

Le Collège fera également l’achat d’un chromatographe en phase gazeuse (GC-MS), couplé à un détecteur en spectrométrie de masse. Cet équipement versatile permet de doser la teneur d’un très grand nombre de paramètres organiques d’un échantillon gazeux ou liquide. L’un des grands avantages de l’appareil est de permettre, non seulement de doser les composés organiques dans les échantillons, mais aussi d’identifier des composés dont on ne soupçonne pas la présence, tels des contaminants.

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Par Stéphanie Gendron, Le Saint-Laurent Portage

28 mars 2014 - Le financement du projet de l’usine de biométhanisation à Rivière-du-Loup changera.

Terix Envirogaz, l’entreprise privée impliquée dans le projet, possède actuellement 34 % des parts, 33% pour la Ville de Rivière-du-Loup et 33 % pour la MRC de Rivière-du-Loup. Dans une société comme la SEMER, Société d’économie mixte d’énergie renouvelable, le privé doit détenir minimalement 20 % des parts, pour un maximum de 49 %. L’entreprise veut maintenant aller à un pourcentage de 20 %, pour obtenir des liquidités et investir dans d’autres projets.

« Les parts sont donc offertes aux deux entités publiques impliquées, soit la Ville et la MRC », de préciser Serge Forest, directeur de la SEMER. Cela peut représenter un investissement d’environ 400 000 $ au total. « On pense actuellement à ce que la ville et/ou la MRC pourraient acheter les parts et les réserver à d’autres MRC, qui pourront éventuellement se joindre au projet », ajoute monsieur Forest. Si les deux entités publiques refusent l’offre, Terix Envirogaz pourrait proposer le pourcentage de 14 % des parts à une autre entreprise privée. Un vote aura lieu prochainement à ce sujet.

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Avenir (Anjou, Montréal-Est, Pointe-aux-Trembles), no. Vol: 53 No: 17

La Ville de Montréal a confirmé que le site de la Carrière Demix, à Montréal-Est, a été choisi afin de recevoir une usine de biométhanisation. La venue possible de ces installations avait été annoncée dans l'édition du 16 novembre 2010 du journal L'Avenir.

Le mercredi 13 avril, la Ville a lancé un appel d'offres pour la réalisation des études préliminaires requises pour l'implantation de ce type d'infrastructures sur son territoire. Trois autres sites sur l'île de Montréal ont été ciblés afin d'accueillir des infrastructures environnementales. Ainsi, une autre usine de biométhanisation sera édifiée à LaSalle, tandis que des centres de compostage seront installés au complexe environnemental de Saint-Michel, ainsi que sur un terrain appartenant à Aéroports de Montréal, à Dorval.

Les matières organiques (résidus alimentaires et résidus verts) représentent 47 % des matières qui sont jetées aux ordures par les Montréalais. En 2008, seulement 8 % des matières organiques (31 000 tonnes) ont été récupérées à Montréal. L'objectif pour 2020, est de faire grimper ce taux à plus de 60 %. L'usine de biométhanisation de Montréal-Est devrait transformer annuellement près de 60 000 tonnes de résidus alimentaires, produits par les résidents de l'est de Montréal.

La méthanisation (ou digestion anaérobie) est un processus de biodégradation des matières qui se déroule, contrairement au compostage, en l'absence d'oxygène. La digestion de la matière organique produit du compost ainsi qu'un biogaz composé. L'énergie qui sera ainsi créée pourra servir de combustible pour automobile, servir à produire de l'énergie pour des industries ou bâtiments, ou encore être injectée dans le réseau gazier. Selon la Ville de Montréal, une usine de biométhanisation comme celle de Montréal-Est pourrait produire suffisamment de méthane pour chauffer quelque 1 600 maisons ou alimenter environ 2 250 voitures pendant un an. Le site de la carrière Demix est situé entre les avenues Broadway Nord et Marien, au nord de l'autoroute métropolitaine.

D'après Alan de Sousa, l'élu responsable de l'environnement à la Ville de Montréal, "les meilleurs sites pour accueillir ces infrastructures ont été identifiés et ils respectent une répartition géographique équitable".

Par Stéphanie Gendron, Hebdos régionaux Bas-Saint-Laurent

6 mai 2014 - La Ville de Rivière-du-Loup a accepté d’augmenter ses parts dans le projet de biométhanisation de 7 %. Le montage financier est donc maintenant de 40 % pour la Ville, 40 % pour la MRC et 20 % pour le privé.

Terix Envirogaz, l’entreprise privée impliquée dans le projet, possédait jusqu’à tout récemment 34 % des parts, 33% pour la Ville de Rivière-du-Loup et 33 % pour la MRC de Rivière-du-Loup. Dans une société comme la SEMER, Société d’économie mixte d’énergie renouvelable, le privé doit détenir minimalement 20 % des parts, pour un maximum de 49 %. L’entreprise voulait aller à un pourcentage de 20 %, pour obtenir des liquidités et investir dans d’autres projets. Le conseil municipal de Rivière-du-Loup a décidé d’allonger près de 200 000 $ pour la moitié des parts devenues disponibles, le reste devant aller à la MRC. « La Ville de Rivière-du-Loup a néanmoins comme objectif de proposer ces parts aux autres MRC participantes », a précisé le maire de la ville, Gaétan Gamache.

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Stéphane St-Amour

19 Avril 2013 - La décision de la Régie de l'énergie d'interdire à Gaz Métro de prendre en charge les coûts des installations visant à transformer le biogaz en biométhane interchangeable n'aurait aucun impact sur le projet d'implantation de l'usine de biométhanisation à Laval, selon le directeur du Service de l'environnement à la Ville, Gilles Benoît.

Et ce, malgré que les discussions préliminaires engagées avec Gaz Métro étaient à l’effet que le distributeur de gaz naturel «supporte la mise en place» de cette infrastructure évaluée à quelque 10 M$, reconnaît M. Benoît.

Ce dernier précise toutefois que «la vente de biogaz à Gaz Métro n’est pas une source de revenu importante dans le développement du projet» et que si cette option figure toujours dans les cartons, elle devra passer le test de la rentabilité pour être retenue.

À cet égard, la firme de génie Aecom Consultants, mandatée par la Ville pour coordonner l'implantation du projet, sera appelée à analyser les coûts-bénéfices d'installation d'une usine d'épuration du biogaz et d'une conduite pour la raccorder au réseau de Gaz métropolitain, en fonction des revenus potentiels de vente.

Options privilégiées

La première utilisation que Ville de Laval entend faire de sa production de biométhane est le séchage du digestat aux fins de valorisation.

«Au lieu d’acheter du gaz naturel, on va se servir des gaz produits par la digestion des boues. C’est ça qui crée une réduction importante des gaz à effet de serre», mentionne Gilles Benoît.

Il rappelle que le véritable gain pour le Québec consiste «à produire une énergie verte à partir de nos boues et de nos résidus organiques».

M. Benoît ajoute que le biogaz généré répondra aussi aux besoins énergétiques des centres de compostage et de biométhanisation et de l'usine d’épuration des eaux usées La Pinière, où s'établira dans l'est de Laval le projet estimé à 123 M$.

«On peut penser à en distribuer aux commerces et aux industries à proximité ou à alimenter des véhicules lourds comme des autobus», fait valoir, entre autres possibilités à l'étude, le directeur du Service de l'environnement.

Rappelons que dans sa décision rendue le 20 mars, la Régie de l'énergie estime que ce n'est pas aux consommateurs de gaz naturel à subventionner une partie des installations de production des villes, de sorte que le gaz produit par biométhanisation puisse être injecté dans le réseau de distribution de Gaz Métro.

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MONTRÉAL et SAVANNAH, GA, le 13 nov. 2012 - Biothermica, entreprise chef de file dans le domaine de  la valorisation des biogaz et du méthane minier, est fière d'annoncer qu'elle a remporté un prix international dans le secteur des technologies propres. Ce prestigieux prix a été décerné hier soir à Savannah, en Géorgie (É-U), par l'Association internationale des technologies propres, la Global Cleantech Cluster Association (GCCA), dans le cadre de la conférence internationale sur les énergies vertes.

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