AQPER - Association québécoise de la production d'énergie renouvelable
AQPER - Association québécoise de la production d'énergie renouvelable
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16 avril 2012, Saint-Honoré – Une équipe de Boralex sera présente dans la région de Témiscouata cette semaine afin de tenir des portes ouvertes sur le projet Parc éolien de Témiscouata II. Deux séances d’information auront lieu, soit le mardi 17 avril à Saint-Honoré-de-Témiscouata et le mercredi 18 avril à Saint-Elzéar-de-Témiscouata.

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Le 22 août 2013, Walmart publiait un blog qui expliquait son engagement à être alimenté à 100 % à l'énergie renouvelable. Cette publication était accompagnée d'un infographique qui démontre ce qui peut être alimenté par les 7 milliards de kilowattheure que veut développer l'entreprise.

Pour voir le blog (en anglais seulement), cliquez ici.

28 août 2013 – L’Association québécoise de la production d’énergie renouvelable (AQPER) accueille avec intérêt le décret portant sur les 450 MW éoliens émis près de quatre mois après la conférence de presse de la Première ministre.

Le gouvernement a pris le temps de bien comprendre l’importance de la filière pour l’économie du Québec. L’AQPER prendra le temps d’analyser les tenants et les aboutissants du cadre proposé par le gouvernement et lui communiquera ses commentaires et suggestions dans les prochaines semaines.

« Une autre étape est franchie  », dit Jean-François Samray, président-directeur général de l’AQPER, «  mais seuls les parcs qui se concrétiseront pourront garantir les emplois, la pérennité de la filière et les retombées économiques. »


Marie Lambert-Chan, collaboration spéciale
La Presse

29 mai 2013 - Le gouvernement Marois souhaite poursuivre le développement des énergies renouvelables, mais sur le terrain, les actions concrètes se font attendre.

En matière d'énergies renouvelables, le Québec fait l'envie de bien des pays. Les richesses naturelles y sont abondantes, et l'industrie des technologies propres innove sans cesse. On peut toutefois faire plus et mieux, notamment en repensant le rôle joué par l'État dans ce secteur, selon Jean-François Samray, président-directeur général de l'Association québécoise de la production d'énergie renouvelable. «Nous avons beaucoup de potentiel, mais le gouvernement doit passer de la parole aux actes», affirme-t-il.

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Montréal, le 20 juillet 2012 – C’est avec joie que l’AQPER accueille aujourd’hui l’annonce par le premier ministre Jean Charest d’un appel d’offres de 450 MW éoliens et d’un programme d’achat pour 250 MW éoliens issus des communautés autochtones.

« L’annonce est une bonne nouvelle pour les milliers de travailleurs à l’œuvre dans l’industrie éolienne », dit Jean-François Samray, président-directeur général de l’Association. « Il est bon de voir que les emplois créés par la filière éolienne sont sûrs  ».

La flexibilité mise de l’avant dans le programme d’achat rend possible le développement économique durable pour les nombreuses communautés intéressées à développer des projets éoliens sur leur territoire.

« Les projets pourront être adaptés aux aspirations et à la réalité des communautés, » ajoute monsieur Samray. « La nouvelle est donc excellente pour les régions et le Québec entier en sort gagnant ! »


Montréal, le 20 juillet 2012 – C’est avec joie que l’AQPER accueille aujourd’hui l’annonce par le premier ministre Jean Charest d’un appel d’offres de 450 MW éoliens et d’un programme d’achat pour 250 MW éoliens issus des communautés autochtones.

« L’annonce est une bonne nouvelle pour les milliers de travailleurs à l’œuvre dans l’industrie éolienne », dit Jean-François Samray, président-directeur général de l’Association. « Il est bon de voir que les emplois créés par la filière éolienne sont sûrs  ».

La flexibilité mise de l’avant dans le programme d’achat rend possible le développement économique durable pour les nombreuses communautés intéressées à développer des projets éoliens sur leur territoire.

« Les projets pourront être adaptés aux aspirations et à la réalité des communautés, » ajoute monsieur Samray. « La nouvelle est donc excellente pour les régions et le Québec entier en sort gagnant ! »

Paul Journet
La Presse

10 mai 2013 - Le gouvernement péquiste commandera assez de projets éoliens pour maintenir les emplois menacés de cette industrie d'énergie renouvelable.

«On demandait des appels d'offres qui totalisaient 700 MW. Le gouvernement vient d'en annoncer 800MW. Alors c'est évidemment une très bonne nouvelle», dit Jean-François Nolet, vice-président de l'Association canadienne de l'énergie éolienne.

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Paul Journet
La Presse

10 mai 2013 - Le gouvernement péquiste commandera assez de projets éoliens pour maintenir les emplois menacés de cette industrie d'énergie renouvelable.

«On demandait des appels d'offres qui totalisaient 700MW. Le gouvernement vient d'en annoncer 800MW. Alors c'est évidemment une très bonne nouvelle», dit Jean-François Nolet, vice-président de l'Association canadienne de l'énergie éolienne.

La première ministre Pauline Marois et sa ministre des Ressources naturelles, Martine Ouellet, ont annoncé aujourd'hui en Gaspésie que Québec lançait quatre appels d'offres pour acheter de l'énergie éolienne. Le premier, de 150MW, est destiné à des communautés de Mic Macs de la Gaspésie. Un bloc de 300MW est réservé à des projets en Gaspésie et dans le Bas-Saint-Laurent. Un autre 200MW ira à Hydro-Québec Production. Et enfin, 150MW seront attribués ailleurs au Québec.

Ces commandes seront faites pour des projets pilotés par des coopératives ou «des communautés locales, en partenariat avec des développeurs privés», annonce-t-on.

L'industrie éolienne ne réussit pas encore à voler de ses propres ailes. Dans sa stratégie énergétique 2006-2015, Québec devait acheter 4000 MW. Il en restait 700. En les attendant, les carnets de commandes des entreprises qui fabriquent les éoliennes se vidaient et les emplois étaient menacés, plaidait M. Nolet. Il espère maintenant que les projets seront opérationnels au plus tard en 2017, afin de s'assurer que les commandes soient rapidement envoyées aux manufacturiers.

Québec n'a pas chiffré le coût de cette annonce. Hydro-Québec prévoit être en surplus énergétique jusqu'en 2020. Cette énergie est revendue à perte à cause de la chute des prix sur le marché. On estime que 1,5 milliard sera ainsi perdu dans les prochaines années. C'est ce qui explique que la ministre Ouellet a mis fin au programme des mini-centrales hydroélectriques en décembre dernier. Quand on compare le prix d'achat au prix de vente, les pertes en éolien dépassent celles des mini-centrales. Mais la ministre croit que ces pertes se justifient, car on maintient ainsi en vie l'industrie manufacturière de l'éolien, une énergie renouvelable

Selon M. Nolet, cette grappe industrielle génère 5000 emplois et ajoute en moyenne 473 millions par année aux coffres de l'État, selon une étude commandée à SECOR-KPMG.

Pour voir l'article dans son contexte original, cliquez ici.

Journal le Lac St-Jean
Daniel Migneault

19 Juin 2013 - L'étude de l'Institut économique de Montréal au sujet des coûts de l'énergie éolienne est critiquée par l'Association canadienne de l'énergie éolienne. Selon son directeur régional pour le Québec, Jean-Frédérick Legendre, les chiffres avancés sont erronés.

M. Legendre mentionne qu'on ne peut pas utiliser les données du bloc patrimonial comme base de comparaison puisqu'il s'agit d'énergie produite essentiellement avec les barrages construits il y a plusieurs décennies et qui est donc peu élevée.

« Il faut comparer des pommes avec des pommes! L’électricité éolienne provenant de parcs construits en 2013 est compétitive avec toute nouvelle génération d’électricité, à l’exception du charbon et du gaz naturel », affirme Jean-Frédérick Legendre.

Il souligne que le coût moyen des projets éoliens au Québec est de 0,093 $ du kW/h. De plus, l'intégration des coûts de transport et de distribution est une donnée qui s'applique à tout type d'énergie.

« Au sujet des surplus, les plus récentes prévisions d’Hydro-Québec prévoient des surplus annuels moyens de 1,2% d’ici à 2027 par rapport aux prévisions de notre consommation. L’ajout d’un seul gros consommateur industriel ou le développement de nouveaux marchés pour l’électricité québécoise pourraient rapidement changer la donne. Sans compter que le marché de l’exportation pourrait offrir de nouvelles opportunités, le gaz se situant présentement à un prix plancher aux États-Unis », analyse M. Legendre.

Le directeur régional insiste sur l'apport économique. Il cite une étude KPMG-Secor qui mentionne que l'industrie éolienne au Québec représente 5000 emplois, 500 millions $ en retombées économiques annuelles, 88 millions $ en revenus annuels pour le gouvernement du Québec et 25 millions en revenus annuels pour les municipalités et les propriétaires terriens.

« Depuis la Révolution tranquille, le secteur de l’énergie a été créateur de richesse pour le Québec grâce à une vision à long terme. Une analyse sommaire et ponctuelle ne justifie certainement l’abandon d’une filière porteuse d’avenir comme l’éolien », conclut-il.—

Pour voir l'article dans son contexte original, cliquez ici.

25 janvier 2012 – Boralex inc. (« Boralex »), Société en commandite Gaz Métro (« Gaz Métro ») et Valener Inc. (« Valener ») sont ravies de la publication, par le ministère du Développement durable, de l’Environnement, de la Faune et des Parcs, du décret pour le parc éolien de la Seigneurie de Beaupré - 4, un projet d’une puissance installée de 68 MW situé dans la région de la Côte-de-Beaupré.

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